Forum en lien avec le jeu Nacridan
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Avant d'aller me coucher après cette belle journée ensoleillé, je décidais de faire un dernier tour au clair de lune sur le haut des remparts. C'était bien mérité car après m'être un peu trop éloigné, mon compagnon magique qui n'était pas encore bien dressé, semblait perdu dans les couloirs d'une maison dans laquelle je lui avait demandé de m'attendre. Le risque devenait grand car il risquait de s'en prendre au propriétaire, si je ne revenais pas à temps. J'avais donc passé ma matinée à traverser la ville pour retourner finir son dressage. J'avais échappé de peu à la catastrophe, car un tel être prit de panique dans nos rue aurait pu causer de gros dégâts.
La journée enfin terminé, j'aperçu des lumières non loin des remparts à l'est de la ville. En ces temps de guerre, je savais que l'ennemi pouvait préparer de nouveau un attaque durant la nuit alors je décidais de scruter son approche.
Une missive nous était parvenu dans la journée, indiquant que les ennemis que nous avions forcé à aller quelques temps dans un autre village était en route pour revenir.
Je m'assis donc sur le rebord d'une muraille et j'attendis patiemment avec mon compagnon magique qui attendait mon ordre.
Au bout de quelques heures, Pazenn était enfin en approche...je l'avais attendus patiemment quelques heures et j'avais enfin était récompensé. Il se trouvait là, au pied des remparts, prêt à tenter de les faire céder une fois de plus.
Malheureusement, la fatigue que j'avais accumulé dans la journée, ne me permettait plus d'aller jusqu'à lui à temps alors je fixa mon compagnon magique dans les yeux qui compris immédiatement ce que j'attendais de lui...il traversa plusieurs murs en 1 éclair et alla lancer sur Pazenn ce sort qui avait déjà eu raison de lui à notre dernière rencontre...nous avions un contentieux entre nous depuis bien longtemps...c'était donc avec un plaisir non dissimulé que je réservais régulièrement mes assauts pour lui.
Pazenn prit de plein fouet ce sort et compris que sa vie était une nouvelle fois en danger...j'avais espéré un temps que dans la panique, il se déplacerait dans ma direction et me permettrait d’enchaîner une deuxième attaque. Mais le sort de mon compagnon lui avait tellement faire peur, qu'il fit demi tour se mettre à l'abri à l'arrière des troupes sous la protection de son compagnon de combat Trozenn...
La partie n'était que remise à plus tard, j'avais croisé terendul, garlak, il y avait donc de quoi me déchaîner différemment pour passer une bonne nuit. et voilà que j'aperçu au loin ce cher Godir qui s'était lui aussi rapprocher des remparts. Une bonne boule de feu étant toujours mieux que rien avant d'aller se coucher...un éclair jailli en direction de Godir...ma fatigue trop grande et avec le soutien de ses amis mages, ma boule de feu n'eu pas raison de lui mais obligera ses compagnons à le soigner au lieu de s'en prendre à notre si beau rempart...et je puis me coucher paisiblement en rêvant que durant la nuit, lorsque ses compagnons approcheront ou qu'il ne s'éloignera pas trop du rempart, les chers habitant de notre belle tour auront bien des opportunités de le faire voyager jusqu'à un autre village. enfin.........(soupir)qu'il est bon de se coucher au clair de lune.
---- Le jours suivant ----
Bowj sautillait de joie!!! le matin même, il avait cru envoyé son compagnon magique seul face à la mort et espéré que le blufff qu'il avait mis en place à son propos ferait gagner du temps aux troupes guerriers pour une charge mémorable...
Cela avait-il fonctionné ou pas? peu importe....le résultat avait été le même...alors qu'il s'attendait à voir son compagnon magique mourir d'un instant à l'autre, son coeur se souleva lorsqu'il aperçu nos alliés Nains débarquaient la rage au ventre dans des cris de fureur déferler sur nos ennemis...devant une tel vision, les gardes du crépuscule encore vaillant sortir de la Tour pour rentrer dans la bataille.
Incroyable!!! son ami magique allait donc survivre?!!! tous les ennemis qui pouvaient s'en prendre à lui tombèrent les uns après les autres...ça en était beau à voir...un vrai massacre...
il s'assit sur les escaliers du rempart ou il se trouvait...les yeux dans le vague...quand d'un coup, il aperçu une forme qui lui paraissait familière sur le champ de bataille.
Mais oui!!! incroyable!!! lui qui avait fait une tentative de bluff en citant 3 ennemis pour semé le trouble dans leurs têtes...il avait maintenant en face de lui evhl...qui dans la bataille et pour fuir ceux qui s'en prenaient à lui, s'était mis sans s'en rendre compte assez prêt pour que bowj puisse utiliser un de ses sortilèges sur lui.
Surement la magie de Noël, car c'est chose là n'arrive qu'une fois dans une vie.
Cette journée qui avait commencé comme un grand bluff allait bien finir, le blufff pouvait devenir réalité...
Bowj se concentra, et déclencha un brasier d'une chaleur telle, que evhl qui était déjà bien mal en point, succomba.
Le sourire revenu, il allait pouvoir assister paisiblement à la fin de cette bataille.
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Hier, j'ai donc tiré mes premières flèches sur nos ennemis.
Bon, en fait, pas exactement.
Je sais, c'est cette partie de l'histoire que tu veux que je te raconte.
toi aussi tu en as entendu parler ?
J'en avais tiré une,
au tout tout début du siège.
un accident bête.
Je nettoyais mon arc et la flèche est partie toute seule.
Je sais, je sais,
c'est difficilement défendable devant un jury.
Et encore moins devant la horde, quand je serais jugé pour mes actes (si ils pénètrent la tour)
Mais c'est un peu près ce qui c'était passé.
A la base,
je fais court, j'ai soif.
à la base donc, c’était après une remarque judicieuse de mon tavernier préféré.
(je le trouve souvent judicieux en fin de soirée)
Il m'a conseillé, plutôt que d'allonger encore mon ardoise,
- d’ailleurs il a ajouté, qu'il faudra que je pense à la régler -
que je devrais me préparer au combat
et il m'a conseillé d'aller affuter mon arme dehors, pour être plus vite opérationnel demain.
J'ai suivi ses bons conseils.
Une bonne idée à la base.
Mais, tu t'en doutes, en fait non.
Pas du tout, du tout quand tu es bourré.
J'ai donc trouvé un coin en haut de notre muraille,
et, avec une dague qu'y trainait, j'ai pris mon arc et j'en ai affuté la pièce de bois courbe flexible.
copeau, copeau, copeau
Forcément, tu le vois venir la.
c'est con.
Et mon arc a fini par casser.
Et par un effet ressort que je ne saurais trop expliquer, la partie basse de mon arc à balayé le sol
et un de mes carquois, posé tout à coté, est parti comme une flèche vers la horde d'ennemi sanguinaire situé en contrebas.
Il s'est arrêté d'un coup, parce que j'avais mon pied droit pris dans une de ses lanières.
Je me suis vautré.
Mais le contenu du carquois a continué comme une flèche vers la horde.
Bon, la,
sans vouloir trop me vanter,
j'aurais pu terminer d'un coup, à moi tout seul, cette guerre.
Enfin, si ça avait été un carquois plein de mes meilleures flèches.
Celui la, il était vide.
Enfin presque,
il en contenait juste une toute petite.
Du coup, quand je dis,
"Et le contenu du carquois a continué comme une flèche vers la horde"
c'est un peu exagéré.
C’était plutôt
"Et le contenu du carquois a continué comme une toute petite flèche vers la horde"
Y a eu un temps de silence, ...
puis, en bas, la horde a fait 'Aie'
Je me suis relevé et j'ai été regarder par dessus la muraille tout en restant caché.
J'avais touché un petit Mage (magimax je crois)
Je préfère ne pas trop ébruiter cette anecdote.
Donc si tu pouvais la garder pour toi.
Tu sais, je te la raconte, à toi, parce que t'es sympa et en échange, n'oublie pas, tu m'as promis une autre bière et un peu de lait pour mon chat.
Dernière modification par Kaelim (2016-12-16 07:52:27)
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Morterre 911, 3eme jour des étoiles.
Au sommet de la Tour-du-Crépuscule, un jeune veilleur de la garde était en poste. Tentant d'imiter la manière d'Umbre, il se tenait sur l'une des gargouilles, et, une lunette d’observation en main, il parcourrait du regard le champ de bataille et les alentours. Régulièrement, il faisait signe à une autre jeune recrue qui attendait de l'autre côté du parapet et lui indiquait en quelques phrases laconiques certaines informations sur les mouvements ennemis que le compère se hâtait de transmettre à l'état-major de la Garde.
Ce matin, alors que le soleil froid de l'hiver se levait peu à peu, le guetteur tourne plus fréquemment qu'à l'habitude son regard vers les dernière lieues de la routes vertes, celle qui filent en ligne droite vers la Nouvelle-Santhoro.
En effet, Umbre le lui avait dit en personne, comme en confidence : « Nous attendons les nains aux premières lueurs du cinquième jour. À l'aube, tu regarderas à l'estan ».
Cela faisait cinq jours que la Tour-du-Crépuscule était transformée en champ de bataille, et le jeune garde scrutait fébrilement la Route Verte.
Quelques instants passèrent, et le soleil progressa insensiblement. Soudain, le jeune homme poussa un cri étouffé, et failli presque perdre l'équilibre : il avait aperçu un reflet métallique sur la route.
Il ajusta méticuleusement sa lunette vers l'endroit d'où provenait le scintillement, et il senti son cœur bondir dans sa poitrine : pas de doute possible, c'était une légion naine qui s'avançait, toutes armes dehors, en une colonne ordonnée sur la route.
Le Garde se retourna vers son camarade, et lui lança à pleins poumons : « les nains sont là ! Nos alliés arrivent pour nous prêter main forte ! »
*puf, puf… *
Neuvième heure de l'année du Scalde Vénérable, 7500 Avant la Dernière Heure.
Le groupe d'assaut des Nainkridhîn avait fait une courte pause, derrière le dernier repli de terrain qui pouvait encore les cacher aux yeux de l'armée des assaillants.
Tout le monde mettait la dernière touche à sa préparation pour le combat. Les paladins et mages altérateurs passaient en silence dans les rangs pour renforcer les capacités des guerriers.
Personne ne parlait, car tous savaient ce qu'ils avaient à faire. Sur la base des informations les plus récentes en provenance de la Tour-du-Crépuscule, ils étaient fin prêts pour la charge.
*puf, puf… *
Après une ultime bouffée, Okhraal rangea sa pipe dans sa besace, et entreprit d'attacher à la hampe de sa hallebarde un étendard aux armes du Clan. Dans quelques minutes à peine, il serait teinté du sang des ennemis du Clan !
Au pied de la Tour-du Crépuscule, Les fracas des coups de boutoir et le grésillement des brasiers le disputait à la rumeur de la grande armée qui s'amassait sous le soleil d'un milieu de matinée radieux. L'Union Obscure, l'Association des Gens Normals et la Confrérie des Hommes Libres semblait s'être alliés pour l'occasion. Sans oublier les terribles combattants Pazenn et Trozenn, qui avaient fait des ravages dans les rangs de la Garde.
Les flèches et les boules de feu sifflaient depuis les remparts, mais à cette heure, rien ne semblait pouvoir ralentir la sape du pan de mur Dustan sur lequel les assaillants concentraient leurs efforts.
Les attaques en provenance des défenseurs ralentirent et, après un instant, les assaut contre les remparts marquèrent également une pause. Un frémissement parcouru l'armée : à l'estan, on entendait l'appel d'un puissant cor de guerre, dont les échos se répercutaient contre les remparts. Le mugissement grave se faisait plus fort d'une seconde à l'autre, et bientôt, de nombreux autres cors se joignirent au premier, dans un concert assourdissant.
Au sommet d'une ondulation de la plaine, un ligne d'acier émergeait. Plusieurs rangées de combattants en armures massives avaient pris position, et toisaient les troupes qui leur faisaient face.
Les cors se turent progressivement. Au premier rang de des nouveau arrivants, Okhraal rangea tranquillement à sa ceinture le cor de Vieille Tour, avant de prendre à deux mains sa hallebarde pour la dresser vers le ciel, faisant claquer l'étendard du Clan de Nainkridhîn dans la brise glacée.
Avec un cri de guerre sonore, la légion chargea comme un seul nain en direction de l'engeance d'Obscurs en contrebas.
Dernière modification par Okhral (2018-01-20 13:11:36)
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Sinouhé grelottait sur la muraille, tout en surveillant les excités en bas. Tout à coup, il sent un courant d'air et éternue. Il crie : Courant d'air, la porte ! Tout à coup, il voit les pogoteurs de la garde, arriver en hurlant et taper dans le tas. Il pense : Pourquoi, tant de haine et de violence, alors que la lune n'est qu'amour ?
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Après quelques dizaines de mètres de charge, Les guerriers du Clan avaient du faire une halte imprévue. Devant eux se tenaient les murs de terre de la Garde. Ceux là même dont il était convenu qu'ils seraient révoqués pour faciliter la charge. Mais pas trace d'une quelconque révocation.
Avec rage, Okhraal sortit de sa besace d'un bout de parchemin et griffonna en vitesse quelques mots avant d'envoyer son corbeau à rencontre d'Umbre. Ce dernier reçu la missive, et en renvoya instantanément une autre à Astérie tout en répondant à Okhraal.
Après quelques secondes à peine, ce dernier vit son corbeau revenir à lui avec un nouveau message à la patte :
"Pas de nouvelles de Moa Nho.
Stratégie acceptée.
Porte ouverte d'un instant à l'autre.
soyez prêts."
Okhraal fit signe aux autres guerriers et leur expliqua en quelques mots ce qui allait ce passer. Ils attendirent alors encore quelques secondes de plus, prêts à courir de toute leur vitesse malgré le poids des armures.
Enfin, la grande porte de la Tour-du-Crépuscule, qui était un peu à l'écart du gros des combats, émit un grincement sonore et s'entrouvrit.
Les nains foncèrent par l'ouverture, alors que Richter Metapunch lançait des armures magiques à toute vitesse sur les guerriers. Heureusement, Okhraal et quelques membres du Clan avaient déjà eu l'occasion de séjourner à la forteresse de la garde, et ils purent guider le reste des troupes dans un escalier en colimaçon qui donnait sur un chemin de ronde, à mi-hauteur des remparts.
De là, il se laissèrent tomber sur l'engeance des Obscurs, qui visiblement n'étaient pas préparé à une manœuvre aussi audacieuse. Du sang gicla, des crânes furent prestement fracassés, des flèches fusèrent des Gardes en position dans les remparts, et à travers le champ de bataille, on entendit le hurlement suraigu du feu fol de trozenn, qui venait d'être libéré de l'emprise de son maître...
Dernière modification par Okhral (2016-12-16 11:57:18)
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evhl avait vu une épaisse fumée au loin, il avait pensé à un troupeau de kradj...
Puis au petit matin, une lueur et plus rien...
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L’appel de la Garde était arrivé par missive jusqu’aux cités naines du Clan de Nainkridhîn. A Vieille Tour où Okhraal, Jormr, Helmar, Erensar, Borh et les frères Brillacier gardaient les monstres éloignés des remparts de la cité comme à Marché aux Ducs où Klaus Barbiche et KRAIN assuraient la sécurité de la cité marchande.
La situation de leurs alliés avait plongé les Nains dans une profonde colère : leurs frères de la Garde, défenseurs de l’Ordre et de la Justice, étaient assiégés dans leur capitale !
Une troupe expéditionnaire s’organisa rapidement et se retrouva à la Nouvelle-Santhoro, regroupés dans le bourg ils purent s’organiser et correspondre avec la Tour qui se trouvait à proximité immédiate.
Un plan d’attaque fut mis en place et la troupe se mis en route vers l’ouest pour défendre leurs alliés contre les obscurs qui si souvent venaient les narguer au cœur même de la péninsule de Tonak.
Dorkral était impatient de « Krabouiller » quelques cranes de ces voleurs et assassins, il ne cessait de caresser sa lourde masse d’armes. Pendant ce temps Arendal invoquait la puissance des Ancêtres sur la troupe : Les armures et les armes se mirent à scintiller.
Au petit trot, la troupe s’avançait sur la route, le cliquetis de l’acier s’entrechoquant résonnait aux oreilles des Nains comme le doux prélude à chant de guerre !!
Au petit matin, un coursier de la Tour arriva pour informer les Nains sur les derniers développements du siège : la voie était libre jusqu’à la cité !
Dorkral : "Mouarf ! FRéRot, dis c’est koi ce siège où l’ennemi laisse tout un flan de la cité libRe ?!"
Arendal : "Connaissant l’Union ObscuR, j’hésite entRe un manque total d’oRganisation ou aloRs une invitation explicite à leuR faiRe une belle suRpRise !"
Dorkral : "MouaRf ! Dans tous les kas ils vont l’avoiR leuR suRpRise kan ils vont recevoiR nos masses en plein dans la face !"
Arrivés discrètement aux pieds des remparts, la troupe pu s’introduire dans la cité par une discrète poterne ouverte par la jeune Astérie de la Garde qui les guida ensuite à travers les remparts vers l’ouest et le champ de bataille qui, au petit jour, était étonnamment silencieux. La tranquillité fut soudain rompue par les cors et les cris de guerre des Nains qui jaillissaient des remparts aux côtés des Gardes pour enfoncer les premières lignes ennemies qui furent totalement prises par surprise.
Dernière modification par Elrean (2016-12-16 12:49:45)
Joueur de Dorkral Brillacier et Arendal Brillacier
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Thorsal de Mirys etait au premiere loge pour assister a la charge des nains. Quelle puissance! Quelle organisation ! En tant que nain il etait fier de ses freres. Le "grand" Okhraal etait a deux pas de lui, s'approchant il lui donna une bonne tape dans le dos comme de vrai nain savent le faire.
He l'ami, c'est tres impressionnant tout ca, je suis content de finalement rencontrer le clan de Nainkridhîn. Il y a de cela plusieurs lunes j'ai recut une missive de votre clan, je souhaiterai en discuter maintenant. En effet sans clan, je me sens un peu perdu dans ce monde. Sans guide je me suis retrouve embarque dans cette bataille sans reellement savoir pourquoi...Prennons un verre et discutons mon ami !
Thorsal sorti une bouteille de son sac et distribua plusieurs verre aux nains present a ses cotes.
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Des murs de terre partout. Je fais le tour par l'échoppe, je passe par l'ecole de combat, je monte dans les rempart... Putain de merde ! Le combat à commencé.
La plus belle vue de ma vie. Le clan au complet et la garde contre les autres baltringues demi-chaotiques. Une fois que tu as vu ça, tu peux crever tranquille.
Mais merdeuuuuuuuuuuu ! Mes murs !!! Faut que je les vire. ET hop ! c'est fait. Avec du retard mais ça ne semble pas avoir entraîné de conséquences.
Allez zou ! A la curée !
Moa Nho (7967) et Moa Zhi (7968) membres de La Garde du Crépuscule
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Entendant qu'on l'apostrophait, Okhraal se tourna la tête pour voir Thorsal de Mirys, à quelques pas de là, qui tentait de se faire passer pour un touriste.
"Arrière, Sans-Barbe !
Sang de Pierre ! Je sais très bien qui tu es et quelles sont tes activités. Le Clan te connait, sois tranquille, et on ne se laissera plus si facilement berner à laisser entrer un renégat dans nos rangs !
Tout ce que le Clan a à t'offrir, c'est quelques pouces d'acier entre les deux yeux !"
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Oh bah c'est qu'il est bougon lui. Ta fumée t'es monté au cerveau ou quoi? J'ai jamais vu un nain refuser un verre...Nan mais jvous jure. J'ai que deux yeux donc deux pouces suffisent normalement...a moins que les vôtres soient aussi durs que des plumes d'oies?
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Dolgaröm n’en revenait pas !
Ses boulettes à répétitions étaient « presque » passées inaperçues.
Après une nuit médiocre passée en compagnie d’une fourmi pour le moins collante, il avait cru bon de partir avec 2 h d’avance droit dans la mêlé !
Son but était simple comme de l’eau de roche :
Bousculer Tebryn pour le mettre à portée de tir de ses compagnons Umbre et Tyriana et de le soustraire momentanément à la protection de son paladin !
Il était gonflé à bloc !
Rien ne pourrait l’arrêter !
Il baissa la tête et s’élança !
Si près du sol son impression de vitesse était fulgurante, les tibias, péronés et autre membres inférieurs qu’il bousculait sur son passage lui paraissait flou !
C’est alors que l’improbable se produisit :
Un point de côté terrible le terrassa à la fin de sa course !!
Umbre du haut des remparts sidéré vit Dolgaröm s’accroupir un genou à terre devant Tebryn.
On aurait dit un chevalier cherchant à se faire adouber par son roi !
Tebryn complètement ahuri par la situation était lui pris d’un fou rire qui lui fit perdre toutes notions du danger.
A ses pieds Dolgaröm ne savait plus où se mettre !
Quelle honte, finir si proche du but terrassé par un manque d’endurance !
Il sorti une potion de sa ceinture et la bu cul sec
Mais rien à y faire cette fichu douleur ne voulais pas s’estomper…
... Il allait devoir attendre …
Quelques instants** plus tard, le rire de l'Obscurs se coupa net quand il vit tomber au loin Trozenn tué par un Okhraal sorti de nulle part !
Les coups pleuvaient en tous sens c’était une véritable boucherie !
C’est à cet instant que Dolgaröm retrouva son souffle et son aplomb et que d’un coup d’épaule magistral il bouscula Tebryn ….
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** oui, oui Tebryn s'est pris un fou rire de 2 h...
Mais si je vous jure !
Dernière modification par astro13 (2016-12-16 15:18:16)
Umbre, veilleur de nuit de la Garde.
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Cela faisait quatre jours que le glas avait commencé à sonner.
Tandis que Tomas avait emprunté une autoroute mortuaire jusqu'à la Tour, Kazador avait épuisé toutes ses économies en traversant tout Nacridan pour répondre à l'appel.
Malheureusement, il n'avait plus un kopek et n'arriva qu'à atteindre le village à l'Ouest de la Tour.
Ce dernier était parcouru par les assaillants qui se dirigeaient en meute vers l'Est.
Toujours sur le fil d'un retour express à Earok, Kazador avait tenté de mener une guérilla sommaire contre les attaquants,
mais ses actions n'ont souvent été que des coups de masse dans une eau dirigée vers l'Est.
A l'affût d'une occasion, Kazador restait dans l'ombre pour guetter les ennemis de la Garde tout en se sachant condamné à la moindre erreur.
Au cœur de l'action, Tomas avait participé un temps aux recherches des intrus à l'ombre de la Tour avant de se poster sur les murs pour repousser les assiégeants.
Mesurant sa force avec déception face à sa Némésis Antëan, il s'était rendu compte que les bougres étaient venus préparés et fortement dopés.
Chaque flèche comptait, aussi Tomas se rabattit sur des cibles plus accessibles.
Une mort précise peut parfois révéler un allié flamboyant involontaire.
Peut-être que Magimax transmettra à son comparse le bout de bois qui porte, comme un défi présomptueux, le nom d'une promesse de vengeance, restée inassouvie par faiblesse.
Tomas le barbu (45822) et Kazador le rancunier (65482)
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La nuit fut glaciale et Oyinko s’était assoupi de fatigue en compagnie de son Feu Fol, pensant s’être bien cachée dans les murailles de la tour.
La nuit le Feu Fol réchauffe, mais il y a un gros problème avec les flammes, c’est visible de loin.
Terendul Kawamot qui passait par là ne rata pas l’occasion de lui administrer une double ration.
C’est le lendemain matin qu’il se réveilla à quelques lieux de la Tour, dans un temple avec ce message :
TssTssTsss
Je n'arrête pas de vous le dire ... Les feu fol c'est mal ... Et c'est mauvais pour la santé en plus ...
Y faut vous l'expliquer comment???
C’est vrai que le Feu Fol l’avait trahi :
On apprend de ses erreurs se dit Oyinko
Il prit ce qui lui restait de ses affaires et repartit rejoindre ses camarades sur la muraille de la tour……
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Evhl cria au loin
"y'a de la fumée par la bas."
Antean s'ennuyant fortement devant les murailles incassables pour sa dague, decida d'aller voir ce qu'il se passait.
Arrivé sur place, Il n'en croyait pas ses yeux. Des casques se promeneaient. Il s'approcha pour comprendre. Et la il avait compris.
"Ils sont tellement petits qu'on les voit meme pas quand ils marchent. Heureusement qu'ils degagent de la poussiere...
Les gardes avaient fait dans leurs frocs. Ils avaient appelés a l'aide et les nains etaient venus en sauveurs.
"J'esperent que la note sera salé. Les nains sont tellement radins qu'ils ne font rien de gratuit"
Dernière modification par breizhou13 (2016-12-16 20:52:22)
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" Je sors et je me pose devant !" se disait Balkag en voyant les murs se dégrader. "Ils n'ont décidément aucun respect pour le travail bien fait ces raclures de bidet !". Un peu echauffé par toutes les énergies magiques dépensées, l'odeur de roussil et de pierre chaude, Balkag sortit des murs et se campa devant les murs abîmés.
Comme un certain Wallace en son temps il s'écria " C'EST MON MUR ! VOUS DEVREZ ME TERRASSER AVANT DE PASSER!"
*Toc toc *
"Et copain ! Rentre donc et écoute un peu nos stratèges ! Faut arrêter de regarder ton compère danser ! Les nains arrivent et on va faire une belle surprise aux obscures !
...
" Certes...et ils en font de la fumée ! "
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Sinouhé envoie sa chouette voyageuse, depuis les remparts aux administrateurs avec cette missive :
Bonjour, ces terreurs de l'UO, si prompts à taper plus faible que soi, se sont permis de faire sous nos murs, alors que l'on faisait attention à faire dans nos frocs. Je vous conseillerai, de surveiller leur hygiène douteuse.
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L'attaque semblait sur le point de se terminer.
Cela avait été brutal, rapide, long, mais c'est comme si après le cri de la troupe naine partant au pas de charge, plus personne n'avait osé surenchérir.
Même les braillards sous les remparts avaient changé de ton, transformant leurs cris de guerre en geignement d'apitoiement pour certains.
Cugel se remémora la suite d'évènement : alors en peine chasse, l'alerte avait été lancée, un, puis deux, puis trois intrus étaient entrés à la tour. Moins de quelques heures ensuite, le prêtre était mort, impossible de rentrer rapidement.
Les nouvelles parvinrent, alarmantes : les intrus dans la tour étaient déterminés, efficaces, le pillage avait commencé, les meurtres aussi, de plus, de premières troupes étaient en approche des remparts.
Coupant vers la route et le village le plus proche, Cugel avait du faire demi tour : la route était invisible, littéralement enfouie sous les pas d'une horde très hétéroclite.
L'accès à la tour avait été long, trop long. Sur place, aussitôt arrivé, il avait du, avec d'autres mages, créer des murs de terre à l'intérieur des remparts : il fallait éviter d'autres téléportations, d'autres rappels dans la place forte.
Pendant ce temps là, les murs subissaient les attaques des assaillants : heureusement, ils semblaient peu à être capables de faire tomber les murs. Des sorties courageuses permirent de retarder le moment de l'invasion.
Les nains, si fidèles alliés, arrivèrent juste à temps : une journée de plus, et la tour était envahie.
Là, éparpillés aux 4 vents comme un vol de moineaux, les attaquants était à peine visibles.
Il s'en était fallu de peu, de très peu. Cugel eut une pensée admiratrice pour ces attaquants et leur panache, puis une grimace face aux insultes que certains avaient proférés : il faut toujours que certains soient mauvais perdants.
Bah, maintenant, il fallait sécuriser les alentours : entre les embusqués et les adeptes de la dernière chance, la tour n'était pas encore sortie d'affaire.
Déjà, dresser le feu fol que le puissant Trozenn avait abandonné derrière lui...
Cugel, 8517 , archimage en formation.
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Elepoy, l'elfette guillerette, avait rejoint le champs de bataille sans trop savoir pourquoi. On lui avait dit Va à la Tour, elle était allée à la tour. On lui avait dit Rappelle les copains, et elle avait rappelé. Puis Umbre lui avait dit Retourne d'ou tu viens - ou plus précisement l'avait écrit sur une flêche qu'il lui avait planté entre les deux yeux - elle y était retourné. Mais l'aventure collective continuait dans la joie et la bonne humeur grâce aux valeureux obscureux et aux sympathiques gardes.
Alors qu'Elepoy était une nouvelle fois occupée à soigner ses amis blessés sur le champs de bataille, elle vit ses camarades paniqués courir dans tous les sens. Certains allait au Sudan, d'autre à l'Estan et même à l'Izan, mais tous semblaient avoir perdu la raison. Ce soudain mouvement surpris profondément l'elfette qui malgré ses efforts, ne put en deviner la cause. Mais le vent changeant de direction allait vite lui apporter la réponse. Une odeur bien connue vint lui chatouiller les narines. Mélange caractéristique de sueur, de bière, de charbon et de champignon (ceux des pieds, pas ceux des bois), le doute n'était plus permis: les nains sont parmi nous.
Un regard à gauche: Pas de nain. Un regard à droite: Pas de nain. Un regards en bas: Ah tient! un nain!
La situation fut bientôt confirmée par Dolgaröm:
Bien le bonjouR !
FiguRez vous que lors de mon deRnier aller Retour à la Nouvelle-SanthoRo je suis tombé sur une Colonne de nain...
Je leuR ai dit qu'il y avait un pique nique géant aux pieds des RempaRts de la TouR ils ont pas Résistés...
Vous avez gaRdé une poRtion du casse Kroute ?
C'est pas tout ça mais le voyage ça Kreuse !
Ah bientôt, les nains!
Devant le spectacle de ces petites boules de poils maniant des hallebardes trois frois grandes comme elles, Elepoy fut saisi d'un fou rire que rien ne pouvait arrêter.
Haha une Colonne de nains!
Ça fait quoi si on met tous les membres du clan les uns sur les autres? Une colonne de 1m10 à peu près? Je m'étonne presque que tu ai réussi à la voir, cette colonne. Ah j'oubliais! La portée de tes yeux est également assez... brève....
Visiblement, les petites boules de poils devaient avoir un sens de l'humour aussi élevé que leurs... heu... hauteur.
Mouarf, si tu veux faire dans l'ironie, frêle elfe, je tiens à te faire remarquer que les restes hachés du mage trozenn dans lesquels tu barbotes ne sont pas non plus particulièrement élevés... et que tu m'as l'air tout prêt à finir comme lui !
Elepoy, voyant cette peluche puante s'adresser à elle, ne put plus contenir son hilarité.
Oh mais y'a quelqu'un derrière cette hallebarde. Je me demandais comment elle tenait!
Le légendaire humour nain vint resplendir sur le champs de bataille.
en effet, et elle tient d'autant mieux une fois plantée dans le bide d'un misérable Sombreux. d'où le fait qu'elle y soit régulièrement attirée !
Mais il est vraiment sérieux je crois. Apercevant un oeil et un bout de main dans la flaque rouge qui tachait ses chaussures, Elepoy compris qu'il était peut être temps de ramasser quelques trésors avant de se trouver un coin plus tranquille; non sans soigner sa sortie.
C'est sûr que le bide, c'est un choix sûr. si tu vises la tête, c'est pas gagné...
Dans le feu de l'action et malgré les interférences, Elepoy réussit à produire les incantations nécessaires à sa sortie.
pazenn (9111) a bousculé Elepoy (16511).
Balkag (13056) a bousculé Elepoy (16511).
Elepoy (16511) s'est téléportée.
Dernière modification par El Poyo (2016-12-17 08:22:54)
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Décidément, courir dans les couloirs d’une cité ennemie est une activité épuisante … Et puis ces saletés de sortilèges qui vous collent à la peau … c’est un peu chaud à la longue …
Terendul avait donc sentit qu’il était plus que temps de mettre les voiles pour trouver l’un ou l’autre soigneur hors des murs. Il se faufila jusque dans la plaine face aux portes de la ville et reprit son souffle un instant.
Il marmonnait dans ses dents :
- Sang de Lave … Sang de Lave …. putain de bordel de saloperie de malédiction de mes fesses …. Ça commence à faire beaucoup pour un seul Elfe …..
Il était malgré tout plein d’espoir quand, surgit de nulle part, un énorme feufol lui assénât le coup de grâce … le sortilège de trop … le Sang de lave qui fait déborder le volcan …
- Haaaaaaaaaaaaa, mais c’est pas possible, quel est l’enfoiré de Mage de la Garde qui m’envoie son satané esclave brulant jusqu’ici ? ….
Mais à y regarder de plus près, il l’avait déjà vu quelque part ce feu fol …
- Mais c’est pas vrai … c’est la bestiole à trozenn qui a retrouvé sa liberté … Maudit karma, … sauvé une fois par trozenn et finalement achevé grâce à trozenn … La boucle est bouclée ma foi ? … Et ces deux tours de manège furent plutôt enrichissants …
Résigné, Terendul attendit la fin et se réveilla assez en forme dans un Temple non loin de là. Comme à son habitude, il sortit de sa botte son petit calepin et griffonna quelques notes :
- Bilan financier : Plutôt intéressant au final. Entre les pièces d’or ramassées, la caisse pillée, les diverses trouvailles à revendre … Merci la Garde.
- Notes pour plus tard : Penser si l’occasion se présente à buter Cugel et Bowj (Dresseur de méchants Follets c’est vraiment pas un métier honnête). Et Penser à buter aussi Moa Zhi (Être aussi mauvais au tir à l’arc devrait être interdit par la loi, ça mérite un sérieux blâme).
Enfin, il regarda vers l’horizon d’un air songeur :
- Bon, je fais quoi ? … y parait que le Clan est arrivé en nombre … Maintenant, des minis boites de ferraille qui courent partout sur leur petites jambes en parlant très fort pour être sûr qu’à une altitude normale on les entendent,… est-ce que ça peut me rapporter quelque chose ? … faut voir ? …
Dernière modification par Cancrelat (2016-12-17 11:16:02)
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Antean venait de voler l'arme de nuke_Z. pendant qu'il prenait son temps a admirer sa derniere posession, de vils nains en avait profité pour l'encercler et le bloquer contre des murs de terre.
"On dirait que les nains sont un peu plus intelligents que je ne le pensais" se dit il.
Il regardait ces petits etre bien en chair et surtout bien armuré. Il se dit que se serait vraiment drole de les provoquer encore un peu pour voir leur reaction. Il essaya mais rata toutes ses tentatives. 2 tentatives de desarmement, une attaque, une bousculade et une position de garde. Il était un peu decu et voyait son heure approcher.
Heureusement, il avait pense a prendre quelques breuvage de son ami Dumbo avant l'attaque. Il decida de prendre une potion de vitesse.
"On sait jamais. Il serait bien capable de penser a me mettre une malediction sur la tronche et de m'occire par la suite".
Quelle bonne idée il avait eu. Malgres sa fougue et sa rapidité, les coups tombaient et ne passaient pas loin de lui. Il fanfaronnait mais savait que sa vie ne tenait qu'a un fil.
Tout d'un coup, tout ce qu'il voyait devenait brumeux puis il apparu au cote de son amie elepoy.
"Merci, j'aimerais bien voir la tete des nains lorsqu'il me chercheront"
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Ach!
Guelle anguilleu ceului là! Ce sale nelfle afait réussi à nous échapper guelle poisseu
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Dumbo se fit tuer 2 fois dans l'histoire de cette guerre. Une fois par Umbre avec l'aide de tyriana et une fois justement par cette tyriana. Pourtant Dumbo était juste venu visiter la ville et appeler ses copains pour profiter des dernières nouveautés des boutiques de la Tour des Crépuscule mais finalement nous avions été refoulés à l'entrée.
Certains des nôtres ou amis tentèrent de faire une brèche mais nous étions tellement nombreux et super coordonnées que nous nous genions plus qu'autre chose. De plus, la Garde appela leur "demi" amis pour éviter que le trou dans leur mur se fasse. La rigueur et connaissance tactique des nains furent tellement efficace qu'une seule sortie à suffit à nous faire rebrousser chemin et rentrer bredouille.
Mais nous avions appris pleins de choses et nos amis de la Garde sont toujours aussi bons joueurs.
Dumbo parti se balader dans la nature pour ne pas pourrir une troisième fois ce qui a failli se passer avec une volée de flèche d'Umbre (encore)
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L'aube était au rendez-vous. Et cela faisait déjà un certain temps que Furtif l'avait devancé. Comme en rituel, il avait déjà ingurgité deux chopines de son breuvage favori, noir et fumant, dont l'amertume était aussi réputée que ses vertus énergisantes.
L'on toqua à son appartement et c'était sans surprise, les heures se bousculent toujours. Il était temps.
Entrez, souffla t-il. Et aussitôt un jeune homme en livrée s'engouffra, vif, dans la chambre douillette du trésorier de la Tour.
Le serviteur le salua d'un Monseigneur, accompagné d'une révérence discrète et subtile. Prendrez vous le petit déjeuné dans vos appartements ? S'enquit-il.
- Merci Ludvic, oui, comme à l'habitude.
L'homme s'affaira tandis que le vieil elfe feuilletait déjà le registre du jour.
Beaucoup de travail pour aujourd'hui, songea t-il.
Et ainsi, commença la longue journée de l'infatigable artisan.
---
A son bureau, le grand trésorier reçut ses rendez-vous du matin. À chaque entretien, Ludvic se tenait à ses côtés. Il n'avait pas le simple rôle d'un valet banal, il avait été embauché pour seconder Furtif, tant dans les tâches du quotidien, que dans sa charge de financier. Il était ses yeux, ses oreilles, et quelques fois ses mains.
Le dernier entretien se conclut avec une chaleureuse poignée de mains. Le riche marchand salua son hôte, et quitta l'office dans une démarche ostentatoire. Si certains cachaient leur fortune, celui-ci se plaisait à l'étaler. Une fois que la silhouette drapée de coûteuses soieries s'était évanouie derrière l'encadrure de la porte, Furtif demanda d'une voix de laquelle ne filtrait pas la moindre trace de lassitude -qui pourtant l'avait saisi-, tout en inscrivant une nouvelle ligne sur son livre de comptes.
D'autres impératifs ?
Oui, tout à fait Monsieur. Une petite gens souhaite vous faire part de sa doléance, voulez vous le recevoir ? Lui demanda Ludvic, en remettant le dossier à son maître. Prenant quelques instants pour répondre, le grand Argentier lu, dans les grandes lignes, le cas du bougre dolent.
Inutile, lui répondit-il, missionnez un de nos agents pour le recevoir, qu'il écoute sa requête avec attention. Accordez lui uniquement la moitié de sa demande, dans la limite de vingt centaines de pièces maximum, cela sera amplement suffisant. Bien, maintenant que ceci est réglé, j'aimerais que nous déjeunions. Ensuite vous partirez pour le comptoir commercial, accompagné de cinq gens en arme. Et d'un geste de la main, comme s'il chassait un insecte gênant, il se débarrassa de tout ces laborieuses affaires.
En début d'après-midi, il remit une cassette à son second, et ils se séparèrent là dessus. Furtif, lui, avait à faire à la guilde des Artisans. Pour s'y rendre, il commanda une voiture. Le véhicule le récupéra devant le palais. Celui ci n'était pas de ceux bon marché qui vous laissait le cuir fessier tanné, mais en rien d'un luxe tapageur, une carriole simple, mais confortable. Le chemin se fit, plus rapidement qu'il ne l'aurait souhaitait. Il appréciait ces ballades dans la ville crépusculaire.
La guilde des artisans l'attendait. A peine dans le hall du bâtiment principal, qu'il fut accueilli par un de ses homologues en charge de la tenue des locaux.
- Ah ! Mon' estimé collègue ! Que je vous' attendais avec impatience. Vous voulez peut' être rejoindre vos quartiers de la guilde ?
- Non, ça ira. Merci. Rafraîchissons nous avant d'entrer dans le vif du sujet.
- Mais oui, mais oui ! Il claqua des doigts et un serveur apparut de nulle part, portant un plateau avec quelques boissons délicates comme savent les apprécier les elfes.
Il échangèrent, des heures durant. Dessinèrent des schémas, discutant impératifs, coûts, prévisions. Leurs conversations prirent tour à tour des allures de débats, de plaidoiries, de reproches, d'éloges. D'autres collègues les avaient rejoint et ce fut une réunion intéressante, dans le cadre de leur profession. La journée touchait à son terme, mais le labeur quotidien était loin de s'achever pour Furtif, du moins, le croyait-il encore en cet instant.
Sur le point de se retirer, au milieu du grand hall, il discutait à nouveau sur le projet d'agrandissement des locaux. A force gestuelle qu'il accompagnait d'un discours éloquent, riche de précisions, sur comment se déroulerait le projet.
[...] bien entendu, il nous faudra prendre en considération l'inflation. Et ceci selon le cours en vigueur de la stère de bois, car nous ne pouvons compter sur les réserves seigneuriales. L'algorithme dont je vous ai fait part plus tôt en réunion saura ...
la phrase en suspens, les marchands étaient à son écoute, attendant une suite. Une suite qui ne vint pas. Et d'aucun ne remarqua, la lame qui s'était insinuée dans son corps, fin et gracile. Ce qui le trahit, ce fut cette tache vermeille, insatiable, qui dévorait le blanc de son tabart depuis le centre de sa poitrine de ses crocs, ci et là, grenats et bordeaux.
Confus, le regard plein d'une terreur indicible, il se tint la plaie, sans force, ne saisissant pas réellement ce qui venait de se produire. Tout était calme, puis... Un cri, non le sien, mais celui d'un membre de la guilde. Qui avait su se défaire de la stupeur, pour alerter les autres dans ce cri désarticulé, d'avantage par peur que par bon sens. Puis ce fut à son tour, de ressentir la peur, matérialisée par un cri sans son, la bouche ouverte pleine de silence et ses poumons remplis de vides. Dans une remontée de douleur atroce, il ne sut que hoqueté en balbutiant une écume écarlate. Ce gout... Comment pourra t-il un jour oublier ce gout. Le sang, la ferraille. Tout se trouble un peu plus. A bout de souffle, il aspira à petites goulées, bruyante, l'air de la pièce, qui semblait en manquer. Puis il eut l'impression de respirer le feu lui même, la déchirure d'un brasier, l'ardent de la fusion.
Tout autour de lui, la panique gagna la troupe. Mais il ne le voyait déjà plus. Il tourna sur lui même, pour croiser le regard, ne serait-ce qu'une fois, ne serait-ce qu'une seconde, de l'homme -ou bien le demi, en l'occurrence- qui causait sa perte. Il voulait, dans ce court moment de lucidité fuyant, tenter de comprendre à travers ces yeux, que certains sages ont nommé le miroir de l'homme, pourquoi. Tout simplement pourquoi ?
Le dénommé Pazenn, d'une Union que l'on dit obscure, faisait parti du groupe d'inflitration de cet ordre, dans l'assaut de la capitale crépusculaire. Pourquoi ce nain fou, avait-il choisit d'éliminer le trésorier dans ce lieu plein de marchand ? Que pouvait représenter comme menace un gratte-papier pour ce combattant aguerri ? L'incertitude le déborda. Le combattant avait-il abattu, dans la foulée, des Artisans à tour de bras ? Avait-il détruit ce beau comptoir, installé par Furtif quelques six mois auparavant. Il n'en su rien, car les ombres débutèrent leur règne, et l'obscurité eut raison de lui. En tombant à la renverse, l'elfe aux cheveux blanc neige était pourvu d'une nouvelle blessure, une blessure mortelle.
Aujourd'hui, pour la première fois, Furtif a gouté à l'abîme, au gout du néant. Une nouvelle cicatrice qui lui sera à jamais douloureuse.
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Après la belle Baston entre eux et L'Union Obscure, Les gens Normals s'étaient vu invités à une sauterie entres gens bordéliques et aimant la Bagarre !
Quelle aubaine ! se Foutre sur la gueule avec des types vachement plus bourrin que soit c'est quand même grisant, quelques un des Gens normals se mirent donc en route dont Kingdju qui rafole de ce genre de missions suicide, et encore plus si c'est pour foutre la merde chez des types sympas, mignons, pronant la paix, la liberté et toutes ces conneries pour elfettes adolescentes ! Bref encore des MOUS !
C'est comme ça que Kingdju se mis en route dans un joyeux bordel avec ses compagnons d'armes.
Arrivé devant les remparts Kingdju n'en revenait pas !
*Oh putain ! mais qu'est que c'est que ce Bordel ? c'est une Baston ça ? ou une partouze peut être vu que tout le monde essaye de se monter dessus...* se dit-il
Il n'avais jamais vu une attaque aussi Chaotique, tout les types de l'Union Obscure étaient plantés là en un genre de tas, en train de boire des canons, de se bousculer, ou encore de taper des fourmis géantes pendant que deux ou trois d'entre eux essayaient de casser les murailles.
On demanda à Kingdju d'aller protéger Tebryn, qui lui faisait partis de ceux qui pouvaient tomber des murailles, ça tombait bien c'était son boulot et sa passion, prendre des coups dans la gueule pour les autres et accessoirement se foutre de la gueule de celui qui était en train de lui mettre des beignes.
Kingdju s'éxécuta donc, mais mis bien une journée à rejoindre son poste tant le chemin était encombré, soit pas des alcolos inactifs, soit par des fourmis géantes...
- MAIS vous allez PAS dégager VOS culs d'ici TAS de BRANLEURS que je PUISSE aller faire mon BOULOT !
Kingdju, finalement, réussi a faire son activité favorite de preneur de baffes mais, peu de temps, car cette attaque fut avortée par une charge des Nainkridain, une Belle charge, sisi quand même !
Avant de se faire dérouiller, Kingdju reçu tout de même un avertissement d'un type des naincridain un dénommé "Okhraal" lui disant que :
"parmi les gens normals y'avais des anciens à eux, et que blablabla, ancienne amitiée, blablabla, avertissement, blablabla, fuyez, blablabla..." fin vous voyez un peu le genre quoi...
Ce à quoi Kingdju répondu avec son habituel tact digne d'un résidu de poulpe ménauposé un truc du genre :
ouais ouais, mais on s'connait pas tellement, puis bon nous, enfin surtout moi, on est venu se foutre sur la gueule, donc va-y fait toi plaisir.
ça n'as pas du plaire car Kingdju eu le loisir de se prendre une flèche d'un dénomé "Thomas le barbu", suivis bonne baffe d'un "Balkag" qui le fit sourire, puis encore une flèche d'un certain "KaeDrane", le tout saupoudré de quelques sangs de lave.
d'ailleurs malgré sa solidité il finit par succomber de ses multiples brûlures internes ce qui, soit-dit en passant, est très désagréable !
Kingdju une fois revenu à ses esprits à l'abri de sa chapelle, se fit la réflexion suivante
*ah putain, qu'est-ce qu'on à été naze sur ce siège ! mais qu'est-ce qu'on s'est marrés ! Vivement la prochaine*
Puis il se mis debout, et repris sa route pour rejoindre ses amis tous fous à liés, à la prochaine bataille !
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